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 I think I preffered the snow... | Genesis

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Kefka Palazzo♠ Messages : 248
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MessageSujet: I think I preffered the snow... | Genesis   I think I preffered the snow... | Genesis EmptyJeu 26 Jan 2012, 12:19 am

    MAIS QU’EST-CE QUE C’ÉTAIT QUE ÇA ?!! Non ! N’y pensez pas. IL VOUS L’INTERDIT. Oui, Il. Avec un graaaand I. Aussi grand que le plus grand des grands radis du monde. De quelle monde ? ON S’EN FICHE. Tant qu’il existe. Est-ce qu’il existe. Pourquoi y a-t-il une table dans le désert ? Hm. Question existentielle. QUI EST L’INVENTEUR DU LANCE-PATATE ? Si vous ne lui dites pas dans un gros QUARANTE mille ans. Eh bien. Vous allez. Mourir. MOURIR. HAHAHAHA. Comme ce mot est joyeux. Mourir. C’est bien. C’est comme vivre. Mais sans vie. C’est comme… LES LAPINS. MORTS. Ouais. Exactement comme eux. C’est un peu comme si…. Je… NON PAS AU JE AU IL ESPÈCE D’ÉCRITEUR NON COMPÉTENT. Bon. Comme IL allait dire…Ah, oubliez ça. Il ne s’en rappelle plus de toute façon. Quoi ? Pourquoi des voix lui parlent ? Des petites voix d’enfants tiens ! Ils chantaient une chanson. Une chanson de Noël. Mais tous les mots étaient remplacés par MORT. DESTRUCTION. MEURTIEUR. Vous voyez le genre ?


    Mais ouais. Donc. Comme j…Il allait le dire, ce foutu clown que tout le monde aimait tant, bah il était perdu. EH OUI. Dans une tempête de sable, c’est dur de se retrouver. Même quelqu’un d’extraordinairement puissant et magnifique que Kefka. Pas qu’il n’aurait pas pu se téléporter au… Château des no life, mais c’est que cet endroit est si EMMERDANT. Sauf quand Coquerelle et Poney sont dans le coin. Oh y’a le blond pas intelligent et le frais-chier fife aussi. Le gros truc dur lui, il est pas intéressant. Il parle pas plus qu’une mouche. Et vous seriez surpris de savoir comment c’est bavard une mouche ! Ça fait BAZZZIIIIII mais au moins. Quand ça veut dire ce qui vient du cœur… Ça le fait. Ça touche tellement ça.


      «Oh I think I’m gonna’ cryyyyyy. I LOST MY MOMMYYYYY. »
      Spoiler:


    Le sable, c’est laid. C’est chaud. C’est comme de la neige, mais on peut ni la manger, ni pisser dedans (oui mais c’est moins amusant), ni faire des boules de neige…. Oh mais… Un instant. Se penchant accroupi vers le sol, il ramassa une poignée de sable dans sa main droite et regarda chaque grain s’écouler de sa main comme de l’eau. Puis, utilisant de ses pouvoirs, il créa une espèce de boule de neige, de sable.

      « UH UH UH. Don’t throw balls at people, little children! There might be some rocks inside them ! »
      Spoiler:


    Se relevant, en se plaçant comme un joueur de baseball professionnel, le psychopathe un peu dérangé tira de toutes les forces que son petit bras mou lui permettait la boule de sable pour qu’elle aille se perdre dans la tempête en criant un gros « HOMERUUUUUUUUUUUUUUN ». Sautant et tapant dans les mains, sur place, le clown s’amusait bien, tout seul…. Jusqu’à ce qu’il remarque… Non… Ce n’était pas possible. COMMENT UNE TELLE INFAMIE POUVAIT SIMPLEMENT EXISTER ? Non non non non non non non non non. Il ne fallait point perdre les pédales, voyons. NE PERDEZ VIRGULES LES NERFS. Vous risqueriez de ne pas vous y retrouver… En passant, ça avance My Little Pony ? AUTRE SUJET PAS RAPPORT. Non je me sens ndndinsdnaishdniasd. Exactement. C’est ce que je pensais. Il y avait. Du. Sable. Sur. Ses. CHAUSSURES. Et vous savez c’est quoi le pire dans tout ça ? Il n’y avait absolument PERSONNE pour lui enlever ce satané sable. Oh mais qu’est-ce que ça lui rappelait des souvenirs, ça ! Oh que oui. Ce château de petits insectes insignifiants et puants comme des rats qui vivent dans un nuage. Douuuu douuuu douuuu dou dou douuuuuu. Foutez lui la paix. NON. Chut. Non chut. TOI-MÊME…. Tu dis quoi sur ma mère ? C’est ça. Fuit. Couillon. MAIS BON. Revenons aux bottes pleines de sable.

      «What. Is. THIS. THIS IS UNACCEPTABLE. I will punish EVERYONE for this. They will all die. And if there isn’t someone to clean my boots between the next ten minutes, I’LL KILL THE NEXT PERSON I MEET… Or maybe not. It will depend on… His behavior. »
      Spoiler:


    Il continua a se parler tout seul pendant un bon bout de temps. Continuant de marcher, chialant contre le sable qui s’accumulait sur ses chaussures pointues et intolérablement sexy. Soudainement, il entendit un bruit étrangement familier derrière lui… Ça semblait être… Une téléportation. Non ? Oui. Non. Oui. Non. Pourquoi ne se retournait-il donc pas ? Peut-être était-ce un des membres de l’Orgie XIII qui venait lui rendre une petite visite parce qu’ils s’emmerdaient dans ce grand truc blanc ! Ouais, truc. Avec Monsieur Truc et ses petits Trucs. C’est alors que, se tenant sur un pied en position étoile, Kefka se retourna sur lui-même et remarqua un homme. Un homme… Roux. Les roux. Quelles créatures étranges. Entre une carotte et une tomate. Il a avait le dos tourné à lui. Approchant lentement, faisant des petits pas de souris pour ne pas être repéré, pas encore. PAS ENCORE. NOOOOOOON. Okay. Arrivant à… Trente centimètres de lui, le clown était encore penché à la Solid Snake, pour aller toucher du bout du doigt le derrière du dos de ce méchant roux sans âme.

      « Is it alive ? »
      Spoiler:


    Et alors que celui-ci se retournait, Kefka fit un semblant de sursaut avant de se coucher dans les airs, le regardant d’un sourire machiavélique. Puis, toujours en suspension dans les airs, il s’étira et se positionna à ce que ses pieds soit juste devant lui.

      « A REDHEAD SLAVE !! Just in time ! I have sand on my boots ! Clean the boots of your new god, my dear boy. This sandstorm is really giving me a headache. Oh but you don’t understand a thing of what I’m sayin’ HEH ? I bet your redhead ears cannot even know what is going on over here. WHY AREN’T YOU CLEANING MY BOOTS ?!! »
      Spoiler:


    Eh eh eh eh eh eh eh. Comme il allait s’amuser avec cette petite fraise inoffensive. Au moins il avait un esclave pour nettoyer ses souliers juste au cas où ça lui tenterait d’abuser (Xig, je sais ce que tu penses alors tu te fermes et tu continues de lire si tu ne veux pas que je vienne te hanter dans ton sommeil pour le restant de tes jours même quand tu vas être MORT) de ce cher nouvel ami. Mais c’est qu’il était lent ce sans-âme ! pas moyen de se réveiller un peu ? ALLEZ ON BOUGE.

      «Weeeeeeell ? What an impolite little turtle are you. You should show some respect and tell your name to Uncle Kefka ! »
      Spoiler:


    And you just lost the game.


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MessageSujet: Re: I think I preffered the snow... | Genesis   I think I preffered the snow... | Genesis EmptyMer 14 Mar 2012, 2:33 am

“ . . . Where in the name of Minerva am I ? “
| Darkness is an annoying beast that likes to clench its jaws around my throat. |
| But never in my life had it been so . . . beyond the power of description. |

-

Et un instant il lui crachait une nouvelle dose de rage, la menaçait de par l’intermédiaire de ses mots de lui infliger une souffrance sans pareil, bordant l’hystérie la plus hostile qui l’avait possédé jusqu’à présent, depuis son éveil dans les confins malodorants d’Hollow Bastion. Pire que lorsque leur lames s’étaient côtoyé dans le ballet fulgurant du combat désespéré s’étant soldé par leur cohabitation douteuse, pire que les lacérations des flammes d’un enfer inexistant. Pire que tout cela . . . et pourquoi ? Pour un simple mot malhabile, parole forgée dans l’annihilation des espoirs qu’entretenaient jalousement Genesis. Situation ayant le pouvoir d’étriquer sans ébauche de pitié les croyances qui le poussait à avancer. Sensation floue qui envoyait ses sens crépiter dans une lave ténébreuse, embaumant sa peau des effluves du Bastion sombre. Lame levée, yeux écarquillés par la colère, c’aurait très bien pu être un autre visage, face sournoise et acérée encadrée d’une cascade blonde terne, qui le regardait avec hargne. Une autre personne, un autre endroit. Autrement, ailleurs.

Even.

Ce qui le menait à cet autre instant, sa rapière se butant contre le vide, s’enfonçant dans une poudre bronzée et aride. Chaleur étouffante remplaçant l’odeur des ténèbres, bourrasques granuleuses lui lacérant le visage de leur solidité relative, s’infiltrant dans les confins de son orifice buccale. Si bien que Genesis, sans trop comprendre ce qui se passait, où il se trouvait et comment il avait fait pour s’y rendre, se retrouva agenouillé dans le sable brûlant, toussant violemment, tentative moyennement fructueuse de son corps d’extirper les grains bouillants de sa gorge. Sa rapière glissa hors de l’étreinte de sa main et l’expérience scientifique se retrouva à quatre patte dans la chaleur, vidant ses poumons et tentant de forcer son cerveau à intelliger le paysage qui se découvrait à ses yeux mi-clos dans la douleur que lui infligeait le sable logé dans sa gorge. Le guerrier, après plusieurs quintes de toux surprises, trouva enfin la motivation de se redresser, restant sur ses genoux, protégeant sa bouche avec l’une de ses mains pour pouvoir respirer aisément. Ses prunelles bleues vagabondèrent partout, ne percevant rien d’autres que des dunes s’étendant à perte de vue, collines sablonneuses sur lesquelles se reflétait un soleil aveuglant. Par la Déesse, qu’avait-il dont bien pu se passé pour qu’il atterrisse au beau milieu de nulle part, alors qu’à peine quelques seconde plutôt il s’adonnait à un échange violent avec sa charmante-notez le sarcasme- colocataire, Lightning. Ou du moins, il s’agissait du seul nom qu’il avait réussi à obtenir pour identifier l’exécrable femme.

Il aurait bien voulu lui reprocher son apparition dans un désert étouffant, après tout, leur entente brillait de son aspect dysfonctionnelle davantage que de sa beauté et elle aurait eu toutes les raisons du monde de désirer se débarrasser de lui, mais . . . si elle avait le pouvoir de téléporter des objets, il y aurait longtemps qu’elle l’aurait utiliser pour quitter Twilight Town et partir à la recherche de ce qu’elle cherchait, du tourment qui animait son regard de vivacité perfide.

La colère, rage violacée qui aimait crépiter, brûler, s’estompait assurément pour laisser place à une désorientation sans pareille, abandonnant Genesis loin de toute forme de civilisation et d’existence. Quoi faire ? Où aller ? Il ne pouvait certainement pas continuer à piqueter, immobile, bottes enfoncées dans le sable, car, malgré son statuts de surhomme, la déshydratation finirait par avoir raison de lui. Ou pas. Il préférait ne tenter le diable qu’en dernier recours, rien ne servait de se tuer avant d’avoir accompli ce qu’il se devait impérativement d’accomplir. Un long dédale d’infamies . . .

La Déesse aimait certainement se moquer de son sort, le laissant croupir, chanceux dans sa malchance, dans les situations les plus inusités. Comble d’un hasard fortuit, empreint d’une moquerie bien prononcée, une pression se fit sentir dans le bas du dos de Genesis, promesse d’une nouvelle aventure tortueuse. Se tournant avec fulgurance, le guerrier déchu se percuta de plein fouet, car une telle vision ne pouvait que faire un effet bœuf, à l’apparition la plus profondément déroutante qu’il lui eut été donnée d’apercevoir dans l’entièreté de sa vie. Le fait qu’il se trouvait dans un désert éloigné de toute civilisation apparente ne faisait que renfoncer l’aspect surréaliste de l’être nouvellement apparu. Un mirage ? Une illusion ? Comment son esprit aurait-il pu engendrer une description aussi fétide ?


« Is it alive ? »

Mèches blondes ramenées vers l’arrière en un halo princier, visage plus blanc que la craie bariolé de stries colorées passant du rouge au mauve, démarche désarticulée issue tout droit d’un autre univers, ainsi qu’une quantité dérangeante de teintes se côtoyant avec la grâce d’un rajeton estropié. Un cas comme on en voyait pas deux. De l’individu, de l’ébauche grotesque d’un clown, se dégageait une insoutenabilité surhumaine, le même genre d’atmosphère que celle qui s’extirpait de Lightning, en plus violente, étrange, mordante. Venant d’ailleurs, de loin d’ici. Peu importe où et ce qu’était ‘ici’.

« W-Wha . . . »
- Q-Quo . . . –

Une courbette envoya l’individu virevolter en position couchée dans les airs, pied se présentant avec une suffisance dégoutante au visage d’un Genesis éberlué et agenouillé. Une main surmontée d’un cuir rendu collant par la sueur qu’engendrait la chaleur s’empara de la lame rougeoyante qui traînait à quelques centimètre, sécurisant un poigne solide, quoiqu’un brin glissante, sur son arme de prédilection. Quelle étrange, étrange créature. Bruyante, insultante. Les mots qui s’extirpaient de ses lèvres peinturlurées n’en devenaient que plus dégradant à mesure qu’ils s’ajoutaient les uns aux autres, formant une ribambelle grotesque de non-sens incitant à la colère. Entre contrariété et désorientation, sourcil davantage levé que froncé, l’expérience scientifique avisait la situation d’un œil incertain. Vraiment détestable . . .

Sonné par l’impossibilité flagrante de la situation dans laquelle il se trouvait, Genesis cherchait éperdument ses mots, tentait vainement d’assimiler le dédalle de sornette que le clown lui crachait, avec une hilarité tout aussi inquiétant que rageuse, au visage. Des bottes, un esclave, une tortue, un oncle, un roux . . . Un conte de fée ayant pris une mauvaise tournure, laissant la gamine éplorée se faire dévorer par le monstre à la candeur vicieuse et à l’appétit charnel. Plissant ses traits en une expression dégoûtée, traits allant bien vite faire la paire avec l’impulsivité qui faisait la charme de l’homme aux mèches cuivrées. ( Car il n’était pas roux. Ça non. Pas dans de telles conditions. Absolument pas. ). Le poète se relevant posément, envenimant par l’intermédiaire de son regard et de ses mots jetés sèchement à l’adresse du fou la forme désarticulée de ce dernier, tenta de reprendre le contrôle qui lui échappait assurément. Tout ceci lui semblait bien trop incongru . . . Le désert soudain, puis cette apparition qu’aucune définition ne pouvait égaler, l’envoyant valser dans les limbes comateuse d’une incompréhension que sa fierté l’empêchait d’afficher. Jamais la faiblesse . . . Hmph !


« A disgusting Pierrot such as you is in no way deserving of my name. »
- Un Pierrot dégoutant tel que toi, ne mérite pas de connaître mon nom. –

Et depuis la descente dans les ténèbres de Radiant Garden les êtres s’étant vu accordé la possibilité de connaître son nom réel ne se dénombrait qu’à très peu. Même Maleficient, la fée imbibée de noirceur contrôlée n’avait réussi qu’à lui arraché qu’une maigre lettre disloquée. ‘G’. Ce . . . dégénéré agencé aux couleurs des arc-en-ciels qui suivaient généralement les déluges pluvieux ne présenterait certainement pas une exception. Pas avec une telle langue et une contenance si . . . horriblement absente. La mâchoire de Genesis se crispait violemment, forçant les tendons reliant les composantes de l’épiderme à s’étirer dangereusement.

L’appellation d’esclave résonnait plus fortement que les autres injures prononcées à son égard, jetant de l’huile sur la colère moyennement amenuisée, jetant aux oubliettes le calme relatif que la désorientation avait engendré. Un esclave, enchaîné à un destin sans mérite par la faute de tortionnaire aux seringues plein d’égoïsme et la déesse qui refusait d’entendre, qui regardait l’épopée que racontait LOVELESS se concrétiser sous son regard de crystal.


« And absolutely no one shall ever dub me as something as degrading as a slave! »
- Et absolument personne ne me sous-titrera jamais en quelque chose d’aussi dégradant qu’un esclave ! –

Et pendant qu’on y était, la cacophonie offusquée de l’être hautain s’attarda sur une note presqu’enfantine en paroles, à l’intonation sauvage et mordante. Rapide, attrapant la violence d’un des rayon brulant du soleil, sa rapière esquissa un arc bref.

« I refuse to clean your atrocious boots ! »
- Je refuse de nettoyer des bottes atroces.-

Et la lame qui défilait en direction du phénomène de cirque, démon fantasque et perturbant, sifflant dans la tempête avec une précision remarquable, dénotant la pratique du soldat, l’amélioration génétique de l’homme. Il aurait très bien pu se jeter face la première sur la créature comme Lightning l’avait emmené à faire, mais . . . Tout chez cet . . . homme multicolore, peu reluisant et désopilant, laissait place à un épisode où on ne pouvait que le sous-estimer. Difficile de le prendre au sérieux cet ‘oncle Kefka’.

Pourtant, Genesis aurait bien du se douter qu’il avait affaire à bien plus qu’une apparence sordide, à un mage de la cours royale qui, dans son temps, s’était élevé au statut de Dieu . . .

Soit.
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MessageSujet: Re: I think I preffered the snow... | Genesis   I think I preffered the snow... | Genesis EmptyMar 27 Mar 2012, 12:03 am

    …Les roux c’est jamais content han ? Jamais content qu’on s’occupe d’eux, jamais content qu’on s’occupe PAS d’eux, Kefka avait déjà eu à faire avec quelques roux, avant ce cher nouvel esclave ornithorinquement apparu de nulle part, TOUT COMME LUI. Eh oui. Ils étaient tous deux de petits canards noirs. Loin loin loin loin de l’humanité où ce qui pouvait ressembler à quelque chose comme ça. DONC, comme il le disait, les roux ça chiale tout le temps. TOUT LE TEMPS TEMPS TEMPS. Tant ? Temps ? Trente ? Pente ? Lente ? Eh oui ça rime. TOUS SANS EXCEPTIONS. Tout tout tout. Lorsque le nouveau venu refusa de nettoyer les bottes (pantoufles mitaines souliers bottes PEU IMPORTE) du clown, Son sourire disparu de son visage. D’un coup ! Comme ça une Lightning qui apparait de nowhere juste comme ça et qui disparait EN STATUE. OUI ELLE EST MORTE REVIENS EN GOD…… Bref.

    Les mots qui vinrent lui rendirent son beau grand sourire charmeur. Il n’était pas un esclave ? Oh mais le p’tit roux il se montait une wannabe conscience ! INCROYABLE MAIS VRAI. L’évolution. Les roux ont maintenant un brin d’âme. MAIS NON VOYONS. Pour qui vous les prenez. Des humains ? PFFFFFF. Déjà que les humains c’est ridicule. Il ne fit que le regarder en souriant face à ce qu’il disait. S’il ouvrait la bouche pour parler, il allait éclater de rire. Et il essayerait de parler. PARCE QU’ON SAIT QUE DE PARLER EN RIANT C’EST TELLEMENT COMPRENABLE. La vie des fois, là. C’est quelque chose d’assez spéciale. Voyez-vous, la vie. C’est comme… Un pot de beurre au peanut. Ou de nutella pour ceux qui sont allergiques…. Ah pis non, crevez donc bande de singes toxicomanes. Lorsque vous achetez un pot. C’est comme si vous avez une nouvelle vie. Quand vous l’ouvrez, y’a ce truc au-dessus que tout le monde aime. En continuant, on trouve le goût bon, mais on se tanne. Et à la fin, on le jette à la poubelle !.... Quand j’y pense, rien de ça fait du sens. Mais bon.

    L’arme du roux tonitruant aux grandes oreilles de lapin s’abattu presque sur lui. PREEESQUE. Une autre seconde et c’était de la purée de Kefka que vous auriez eu pour vous raconter le reste de ce poste ! Avouez que vous auriez aimé ça. Un tas vomis multicolore qui vous raconte sa vie. TELLEMENT PASSIONNANT. Enfin, ouais, vous avez compris. Un peu plus et SHLOUCK. Il était plus là. Mais non, impossible que cet arlequin meurt, voyons. Il avait trop de gens à troller, trop de vies à détruire et trop de dieux à être. Oh oui. Dieux. AVEC UN X COMME DANS SE—Bon j’me tais. En gros, le clown c’était téléporté au-dessus de ‘endroit où il se trouvait. Assez pour qu’il ne puisse pas l’atteindre avec son épée et contre le vent pour ne pas en avoir dans les yeux et dans la bouche. C’était lui qui avait ces bourrasques de roches miniatures dans la figure. Peut-être seraient-elles capable de la remodeler de façon à ce que son visage disparaisse complètement ? Nan, même lui il pouvait rêver. Rêver de trucs bien horribles, pour des gens normaux, mais très agréables pour lui, mais ouais, rêver. Kefka qui dort c’est intense. Il joue le contorsionniste ! Ou bien est-ce qu’il dort vraiment ? Hm. C’est une question que même moi je me pose. Prenant une voix plus sérieuse qu’à son habitude (on aurait dit un psychologue) Kefka se pencha par en avant, tout en restant en suspension dans les airs.


      « Hey calm down, El Rojo ! No need to be rude ! Why don’t you sit down, so we can talk ? You seem to have anger management problems. »
      Spoiler:


    Il le fixait de ses yeux bleus ciel, son sourire aussi grand que celui du Joker et les pensées de fou qui lui traversaient l’esprit. Oh les choses qu’il pourrait faire avec ce gars là ! Toutes les tortures, mentales et physiques ! Si seulement il avait encore une de ces couronnes d’esclaves qu’il avait mis à Terra. Comme ça aurait pu être utile. Utile pour tellement de gens ! Ces petits poussins apeurés qui n’avaient nulle part où aller et qui ne demandait que la guidance de Mr. Kefka.
    Quelque part, en Alabama, il y a peut-être une boîte de carton qui n’attend que son petit hobo. Toutes les boîtes ont leur hobos. Amoureux. Ils sont bien ensemble. Pas besoin d’une Xbox ou d’un cellulaire. Ils s’ont. C’est pourquoi il avait décidé de lui foutre une boîte sur la tête. Une boîte en carton bien normale. Il l’avait trouvé euh…. Par terre. Ouais. Par terre. Elle lui était arrivée sur la tête ! OU DANS L’EAU. OUI DANS L’EAU. Voilà l’explication la plus logique. L’eau, comme la vie, comme le beurre de peanut, comme les petits oiseaux cuicui, comme les œufs dur.


      «Here’s your new home, Ginger Ale ! How do you like it ? Oh I know It’s not the best best thing that you could’ve had, BUT. That’s what I got for you ! Now be a good animal and stay in your box. »
      Spoiler:


    Oh le plaisir qu’il avait. C’était tellement. Tellement… Tellement ! Oui, tellement. C’était ce que c’était. Ses yeux maniaques qui ne le lâchaient pas des yeux. Puis, une autre téléportation Puis une autre. Et une autre. Et une autre. À chaque fois, il lâchait un rire. À chaque fois, il criait quelque chose. Il voulait le rendre fou ! Psychopathe comme lui. Intensément dément. Détraqué comme le pire de tous les trucs. Un danseur de balais. Ça c’est troublant. Même pour Kefka. Ooooooh les frissons. Puis, il décida de s’arrêter alors que son rire résonnait encore dans l’air. Il était couché à l’horizontale, encore une fois. Il aimait beaucoup faire ça. C’était confortable. Il n’avait qu’à appuyer sa tête avec sa main pour qu’elle ne se fatigue pas. Simple, non ? Simple comme faire du Kraft Diner. Même un enfant de 9 ans pour faire ça COME ON.

    Il ne disait rien. Il attendait qu’El Rojo réagisse qu’il se décide. S’il était déjà en colère avant, peut-être que là, il bouillonnait ! Un roux frustré. RAH RAH RAH. C’est ce que ça donnerait. C’est comme les femmes. PMS. Les roux ont maintenant des PMS. IT’S PROVEN MY FRIENDS. Scientifiquement, en plus. Quel meilleur scientifique que Kefka ? Est-ce que ça explose ? non ? Aux poubelles. Oui ? LAISSEZ-MOI VOIR ÇA. En gros. Ce clown là avec un sarrau blanc, ce serait impossible, mais bon. Essayez de le garder en place pendant une seconde quand il fait que se téléporter en mélangeant les produits chimiques les plus dangereux. Oh et bonne chance pour vivre après une explosion nucléaire à deux centimètres de vous !

    L’arlequin lâcha un pet sonore qui sentait vraiment mauvais. Ouf ! Combien de temps ne s’était-il pas lâché comme ça ? Longtemps ! Il fut pris d’un fou rire, comme un enfant, faisant l’éventail avec sa main pour dissiper l’odeur. Vous savez quoi ? THE GAME. Voilà. C’est dit. Maintenant j’ai besoin d’un jus d’orange.
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MessageSujet: Re: I think I preffered the snow... | Genesis   I think I preffered the snow... | Genesis EmptyJeu 04 Oct 2012, 2:40 pm

Sa rapière ne rencontra que du sable, le coup préalablement porté, si bien envisionné, ratant totalement sa cible. Hébété, grains dorés lui picorant le dos tels de petites aiguilles, Genesis fixait l’espace béant où se tenait préalablement le dantesque clown. Après les contorsions corporelles impossibles, voilà que ce dernier présentait une nouvelle capacité irréelle. Comme Merlin lorsqu’il les avait transporté jusque dans ce monde aux fleurs géantes, Angeal et lui, il semblait pourvoir se téléporter. À l’envie, selon sa volonté.

Pantois, écoutant à peine les élucubrations criardes et insensées du curieux personnage, son ton de voix se faisant tantôt paternel, tantôt psychotique, le rouquin n’entrevoyait que cette porte de sortie entrouverte. La porte qui le redirigerait vers le chemin qu’il convoitait, qui lui permettrait d’entamer ses quêtes de vengeance et de retrouvailles, cette issue qui se manifestait sous la forme d’une aptitude spontanée. Une téléportation dantesque qui l’aurait très certainement frustré dans d’autres circonstances. Quoiqu’affirmer que les moulinets dégradants de l’arlequin ne l’agaçaient pas le moins du monde aurait été un affreux mensonge, car cet arc-en-ciel explosif, et plus que certainement potentiellement dangereux, ne pouvait être complètement ignoré, bruyant, odieux, chapardeur, mais . . . mais . . . c’était un si petit prix à payer pour la possibilité d’une issue. Il pourrait quitter cet endroit inhabité écrasé entre des dunes granuleuses et n’aurait pas à retourner à Twilight Town. Ou Genesis se perdait dans un élan de résilience frivole qui prendrait fin dès la moindre action plus drastique ne relevant pas simplement de l’écho des mots. Après tout, à quoi bon se frustrer sur le compte de paroles mal employées et dénuées d’art, de lyrisme ? Patience, Genesis, les réponses viendront, contente-toi de conserver ton sang froid. Tu l’auras ton issue, éventuellement. Immobile, traçant un regard mi-insulté, mi-fasciné sur la figure mouvante de l’homme de cirque, l’épéiste s’apprêtait à l’interroger, à faire délibérément abstraction du vomi verbal que lui crachait l’autre dément.

Puis, on abattit quelque chose sur son crâne, brusquant les mèches cuivre, prononçant un peu plus la chaleur déjà étouffante du désert. Texture moins sablonneuse que celle du sable, mais possédant tout de même une certaine rudesse, Genesis porta sans la moindre attente ses mains dans la région de son crâne de sorte à se débarrasser de son couvre-tête douteusement improvisé. D’où est-ce que cet objet venait ? Ils étaient perdus au beau milieu d’une tempête de sable en plein désert ! On ne trouvait pas des objets à tout va dans un tel environnement ! Était-ce un autre des vicieux pouvoirs, fascinants, convoitables, du clown et de son hérésie apparente ? Il criait, hurlait, proclamait des viles bribes qui n’arrivaient pas à se voir entièrement étouffée par les bourrasques de grains beiges. Constatant une forme de quadrilatère à l’objet obscurcissant son visage, Genesis retira la boîte de sur son crâne, la lâchant sur le sol mouvant près de lui. Du carton . . . La confusion de Genesis s’intensifia. Où est-ce que cette drôle de caricature ( qui le survolait présentement en se téléportant à un rythme effrénée, voix rendue floue par la tempête ) avait bien pu se procurer une boîte en carton. Il ne l’avait tout de même pas cachée dans ces collants.

Genesis leva un sourcil, exaspéré par cette suite d’événement refusant catégoriquement de s’accorder à la moindre forme de logique, le laissant en proie à une vilaine confusion qui, à priori, vu le tempérament particulier de l’autre individu présent, ne prendrait jamais réellement fin. Il se pencha, réaffirmant d’abord sa poigne sur le pommeau de sa rapière, s’insufflant du même coup un sentiment de sécurité ( ce n’était pas de trop, jamais de trop ), avant d’attraper de sa main libre l’un des rebords de conteneur en papier épais.

Sa nouvelle maison, lui avait semblé beugler l’autre retardé du cervelet. Froncement de sourcils, moue rageuse, impulsivité qui désire de nouveau pointer son affreux derrière. Le sans quitta les jointures de l’expérience scientifique, alors que cette dernière serrait avec violence les objets tenus par ses mains. Entre confusion et indignation, curiosité et rage . . . Inspiration, il lui fallait apprendre d’où provenait ce don de transport instantané de sorte à pouvoir l’imiter. Et, même si il en coûtait à son égo et à son orgueil de l’admettre ( ce qu’il ne ferait JAMAIS à voix haute ), le rouquin devait s’en tenir à l’évidence. Il ne tiendrait pas longtemps dans un combat où l’opposant pouvait disparaitre à volonté, dans un environnement inconnu. Il crispa ses phalanges contre la boîte de carton.


« Home, huh ? »
- Chez moi, huh ? -

Il passerait ses nerfs sur la prochaine apparition qu’il rencontrerait, viderait cette violence palpable que lui inspirait le démon coloré sur autrui. Pour l’instant, ses buts majeurs prôneraient sur le reste et il consentirait à mettre ses mœurs personnelles de côté. Pour retrouver Angeal, pour arracher la peau recouvrant les pommettes d’Even. Il avala sa salive rendue pâteuse par la chaleur, la sentant ramper le long de son œsophage telle de la nourriture expirée. L’autre s’était enfin immobilisé et un silence relatif régnait dans la plaine de dune égarée au foutu beau milieu de nulle part. Relatif, considérant que le vent est un élément plus bruyant que nécessaire la plupart du temps. Des volutes de chaleur visibles s’élevaient paresseusement vers le ciel, autour d’eux, peignant le portrait débile d’une fresque de Far-West. Comme ceux qu’on observait dans les images des bouquins pour enfants. Il ne manquait plus que cette balle de foin anonyme pour compléter l’imagerie. Dégoutant.

Son bras se vit balancer vers l’arrière, s’accaparant l’ampleur qu’imposait le mouvement, avant d’être ramené vers l’avant tout aussi brusquement que rapidement. Là où il tenterait de conserver son sang froid, Genesis ne se priverait tout de même pas de la rudesse et du sarcasme, outils vénérables lors de soirées de faux-semblants fatigantes. La boîte fut envoyée valser avec force dans la direction de l’arlequin, lui heurtant la tête. Clear, clean, shot.


« I am dramatically sorry to inform you that I already possess a home. I do not have any need for your box. Keep it for yourself, noisy fool. »
- Je suis dramatiquement désolé de t'informer que je possède déjà une maison. Je n'ai pas le moindre besoin de ta boîte. Garde la pour toi, bruyant imbécile. -

Hautain, le rouquin s’accorda le droit au mensonge sans le moindre regret. Bien sûr, il n’avait pas réellement de chez lui, Radiant Garden s’étant fait avaler par les ténèbres, le manoir hanté de Twilight Town se profilant davantage comme un ‘toit provisoire’ que comme une véritable maison à laquelle il vouait son appartenance, mais tout cela n’aurait plus d’importance lorsqu’il serait de nouveau réuni avec Angeal. Home.

Heh.

Balançant sa lame au-dessus du sable, de la même manière dont il l’avait avec la boîte quelques secondes auparavant ( sans, évidemment, avoir l’intention de la lancer ), Genesis esquissa quelques pas dans la direction du clown, interrogation pendue au bord de ses lèvres depuis de nombreuses minutes, tombant enfin à l’extérieur de sa bouche. Pas qui ne croyait obtenir de réponse claire, mais . . . qui n’essaye rien n’a rien. Il trouverait bien un moyen de comprendre comme ce pouvoir fonctionnait.


« How can you do that ? Why can you do that ? The teleportation power you show, where did you get them ? »
- Comment peux-tu faire cela ? Pourquoi peux-tu faire cela ? Les pouvoirs de téléportation que tu montres, où les as-tu obtenus ? -


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MessageSujet: Re: I think I preffered the snow... | Genesis   I think I preffered the snow... | Genesis EmptyJeu 03 Jan 2013, 11:40 pm

    Ooooh les belles couleurs. Les toutes belles couleurs de jaune et de rouges. Jaune et rouge ? Il se prend pour qui lui, une pomme qui joue à Kill Bill ? NON MAIS QU’EST-CE QUE C’EST QUE CETTE PLAISANTERIE. Le yellow était, bien sûr, le beau sable doré qui tournait autour d’eux ! Du joli sable. Ça se prenait dans les vêtements, les cheveux, les yeux… ARGH NON MAIS C’EST CHIANT DU SABLE. Comment. Peut-on. En faire un château ? Question existentielle très importante, mes amis. Question existentielle.

    Oh ce que c’était amusant. Tourner en ro…T’AS MÊME PAS PARLÉ DU ROUGE OU POURQUOI IL EST COOL LE ROUGE, ESPÈCE DE GRENOUILLE APLATIE. Bon, le rouge… Pourquoi parler du rouge. Le seul rouge qui n’était pas sur la splendeur immesurable de Kefka, c’était les cheveux roux du truc qui se trouvait tantôt à gauche du clown, tantôt à droite, en haut, en bas, en diagonale, sur, dessous, PARTOUT autour de lui. Parce que vous savez, l’arlequin s’amusait beaucoup à se téléporter un peu… partout ? Tout le temps. En riant comme le gros débile qu’il était. Un gros débile à qui on avait donné autant de pouvoir que trois chats aux lunettes de soleil qui tourne le dos à une explosion. PARCE QUE.


      « COOL GUYS DON’T LOOK AT EXPLOSIOOOONS !! »
      Spoiler:


    Ceci était suivi d’un rire dément qui aurait fait trembler les plus beaux petits cochon-d’inde de tout Agrabah. Qu’est-ce qui pouvait tourner mal maintenant ? Rien ! Kefka avait son esclave roux qui allait se transformer en verrue au goût de bleuets dans quelques instants, ainsi que….
    Hum. Dans quoi je m’en allais. Enfin bref, pendant que le débile mental délirait et ne faisait nullement attention à ce que son esclave faisait, Kefka n’avait qu’une seule envie : détruire quelque chose. Il fallait que quelque chose disparaisse. Rien ne se perd, rien ne se crée ? PFFFFFFF ON VA VOIR SI CETTE RÈGLE EST RESPECTÉE AVEC KEFKA. Mais quoi. Que pouvait—OUCH. UNE BOîTE D’OÙ ELLE SORTAIT ELLE ? C’ÉTAIT PFO’KPSFMIHUsdfUHIJSODpFsdPOi l’occasion parfaite pour détruire quelque chose ! Boum. Boum boum boum ! Hu hu hu hu. Oh ouais, la boîte. Kefka la fit léviter, ayant tombée sur le sol, la faisant tourner devant lui… Mais de quoi il parlait l’autre roux ? Une maison, une boîte ? Depuis quand est-ce qu’il pensait que cette boîte était sa maison ?


      « Whatwhatwhatwhat noooo SHUT UP…. DON’T YOU DARE. Theeeeere ! Good slaveydoobey. »
      Spoiler:


    Non mais. Faire passer son maître pour un dégénéré mental habillé en clown, narcissique et vraiment stupide, pour qui il se prenait ? OH OH OH OH MAIS POUR SON ESCLAVE BIEN SÛR. Il n’était pas aussi bête qu’il en avait l’air. Il venait de passer de la tortue à la chèvre !... QUOI ?! C’était un méchant saut qu’il avait fait ! Il a passé les reptiles d’un coup ! MAIS QUEL EXPLOIT. APPLAUDISSEZ, MES AMIS, C’EST LA VIE QUI COMMENCE SON CYCLE DES CHIENNES EN CHALEUR. Kefka toucha le bout de la boîte en carton, paresseusement, pour la faire pivoter comme si elle se trouvait dans un endroit sans gravité, assis en indien dans les airs. Une question perça l’air. Une question adressée à lui. LUI LÀ LÀ. OUI TOI ESPÈCE DE.

      « SLAVE. You ask way too many questions ! BUUUUUT if you REALLY want to know about my AWESOMENESS, you should know that... I am powerful by nature ! I always was meant to be a god and to DESTROY EVERYTHING HUH HUH HUH HUH HUH HUH »
      Spoiler:


    La boîte vint se poser d’elle-même sur la tête blonde du clown, comme si c’était de son plein gré. Sauf que, si la pauvre boîte avait su le sort qui l’attendait, elle aurait fui sa vie le plus vite possible. Le sourire du dément était aussi gros qu’un fromage italien alors que, le visage accoté dans la paume de la main, le clown fixait le roux. Pourquoi était-il si intrigué par sa puissance ? Kefka le savait, il était TRÈS fort magiquement. Mais pas assez pour devenir un dieu encore. CE QUE C’ÉTAIT FRUSTRANT. Terra et ses joyeux lurons devaient bien être contents. Ils devaient fêter joyeusement la mort de l’empereur et la disparition du fou écervelé clownesque. LE BONHEUR N’AURAIT JAMAIS DÛT EXISTER. La mort, le chaos, la destruction et la souffrance devaient tous régner en harmonie… NON PAS EN HARMONIE. L’harmonie apporte du bonheur. Non non non.

      « Hehehehehe. Tell me, minion, why are you soooooo CURIOUS about my MAGICAL ABILITIES ?! »
      Spoiler:


    [i[C’était une vraie question EH OUI MEDAMES ET MESSIEURS SORTEZ LE CHAMPAGNE ET LES CONFETTIS, KEFKA S’ADRESSE À QUELQU’UN SANS VOULOIR SE MOQUER DE LUI. Mais plus sérieusement… le plus sérieux que ce truc multicolore ambulant pouvait être, l’arlequin se posait réellement la question de pourquoi il s’intéressait tant à lui. D’où il tenait ses pouvoirs ? eh bien, pour un petit cours d’histoire de l’art (on s’entend que Kefka sur une toile, c’est de l’art), Kefka avait eu ses pouvoirs suite à une expérience dont il s’était porté volontaire. La première expérience de Magie sur un humain. Ça avait donné…. Ça. Ce truc complètement OP qui trippait sur la destruction et le chaos. QUELLE JOYEUSE FIN VOUS NE TROUVEZ PAS ? Pourquoi il pouvait faire ça ?.... Bah. C’était simple, non ? Parce qu’il le pouvait ! C’était tout. Rien de plus compliqué. [/i]

      « Oh, my dear dear dead mouse, teleportation is one of the MAAAAAAAANY things I can do ! »
      Spoiler:


    C’était complètement vrai. S’il lui avait dit, dans les prochaines minutes, qu’il allait, un jour, détruire un building au complet avec tous ses occupants, annihilant en même temps avec UN SEUL LASER… L’aurait-il cru ? L’AURAIT-IL CRU ? Probablement pas. Les roux étaient perplexes. Très perplexes. C’était des créatures intéressantes, étranges et bien amusantes. La boîte sur la tête du clown s’envola dans les airs et ce dernier lui lança un gros éclair qui fit prendre le carton de la boîte en feu, qui alla s’écraser lentement dans le sable. Aaaaaaaaaaaah. Ça faisait du bien ! Faire brûler quelque chose. C’était si magnifiquement relaxant, si merveilleusement magique et si relaxement parfait. C’était comme créer quelque chose, mais le contraire. Par contre, ce n’était rien comme tuer une personne vivante. Avez-vous déjà essayé ? Le frisson d’extase ! C’était… Quelque chose.

      « WOUUUUUUU THAT WAS A GOOD SHOT HUHUHUHUHUHU »
      Spoiler:


    Fier de son coup, l’arlequin se coucha sur le côté à l’horizontal, flottant dans les airs comme il aimait tant le faire. Oh ce qu’il aimait les grosses patates molles.

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MessageSujet: Re: I think I preffered the snow... | Genesis   I think I preffered the snow... | Genesis EmptyMar 02 Avr 2013, 8:32 pm

Esclave, esclave, esclave. Genesis aurait beau passé des heures à se psalmodier de réagir de bouger, il n’arrivait pas vraiment à se laisser emporter, trop profondément noyer par l’absurdité totale du personnage et de la situation dans laquelle il se trouvait. L’arlequin arc-en-ciel n’en finissait pas de bouger, gigotant et virevoltant dans tous les sens comme une ballerine électrifiée. Il n’en finissait pas non plus de parler, de hurler des babillages disloqués, heurtant un sujet comme un autre dans l’avènement douteux d’une prise de parole. Et quelle voix agressante exposait-il à l’air brûlant du désert, crissante, sifflante plus acérée que les bourrasques de vent sablonneuses qui lui fouettaient le visage.

Trop de questions, le clown s’exclamait-il dans un gloussement dantesque, s’agitant avec la grâce d’une poule déplumée, vrillant l’esclave, l’esclave, l’esclave plus profondément dans les synapses déboussolées de l’ancien guerrier de Radiant Garden. Comment pouvait-il poser trop de questions, alors que l’hystérique lui-même était celui qui s’en était accordé le plus depuis leur étrange rencontre. Genesis trouvait de plus en plus lassant de s’égosiller à trouver une certaine forme de cohérence à l’intérieur des propos et actions du personnage coloré qui explosait autour de lui, répandant sa disgrâce et son flagrant manque de savoir-vivre dans la chaleur des dunes. Visiblement la moindre de ses actions se voyait avalée par un trou noir béant dissocié de la réalité et de la cohérence habituelle à laquelle Genesis trouvait normal de se voir confronté, à l’instar des ténèbres grouillant dans ses veines, ce trou noir n’avait que pour seule caractéristique l’absence d’intelligence. Et peut-être une touche de destruction massive si on désirait se pencher sur les propos sautillants de l’arlequin frétillant. Une destruction divine que seule la Déesse pouvait réellement détenir dans toute son amplitude. La langue de Genesis vînt humidifier ses lèvres sèches dans le murmure sibyllin d’un vers ou deux de LOVELESS, crispant ses longs doigts sur le manche ferme de sa rapière vermeille.

La course de la boîte, de la supposé maison, que l’animal de foire lui avait préalablement écrasé sur le crâne s’était soldé par son retour sur la tête de son juste possesseur, masquant des couches de maquillages éclatant aux yeux ciel de Rhapsodos. Des filaments blonds dépassaient de rebord et le costume du clown venait tout de même vriller les iris d’autrui de ses teintes exubérante, autrui, ne se composant toutefois, à l’instant, que de Genesis et des quelques serpents et scorpions qui rampaient posément sous les volutes de grains dorés. Puis contre toute attentes, une question légitime, ou presque car cette voix venait distiller toute notion ‘d’adéquat’, perça la stridence du vent pour venir se lover dans les boîtes auditives du cuivré. Une interrogation légitime concernant sa précédente interrogation, quelle surprenante . . . surprise. Surprise qui dût se dessiner sur son visage, précisant ses traits et lui valant une goulée de sable en pleine bouche tant ce qui l’avait provoqué était inattendu.

L’expérience scientifique tâcha tout de même de se ressaisir rapidement, glissant une paume au-dessus de ses lèvres pour pouvoir cracher adéquatement le sable venu polluer sa bouche de sorte à pouvoir parler. Sa ‘rapidité’ relative laissa tout de même à l’excentrique pot de peinture le temps de valser avec de nouvelles exclamations sporadiques, poursuivant à demi la conversation d’une manière plus vénérable que précédemment, avec un brin de sérieux, envoyant la boîte danser dans les cieux et découvrant et à nouveau son visage crayonné. Le contenant de carton carré filait vers le sol, mis à feu, donc à sang, par la puissance céleste de la foudre. Les flammes obnubilèrent Genesis un moment, son regard les imaginant plus brillantes qu’elles ne l’étaient déjà, goûtant son affinité avec elles qui lui donnait envie de les faire crépiter plus magistralement. It was indeed a good shot qui reporta l’attention de Genesis sur l’arlequin.


« I need those abilities, the teleportation one at the very least. »
- J’ai besoin de ces habiletés, celle de se téléporte au minimum. -

Malgré l’attitude dérangeante qu’il présentait, brusquant tout les fondements animant l’ex-résidant de Radiant Garden de ses ricanements belliqueux, on ne pouvait nier que les aptitudes qu’il affichait démontraient un certain pouvoir, une science vive qu’il serait profitable de connaître.

Ravaler sa fierté pour Angeal, ravaler sa fierté pour s’échapper.


« Teach them to me. »
- Enseigne-les moi.-
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