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InvitéInvité | Sujet: 2ème Visite, l'indiscrétion est un art ! [PV Belle & Xaldin] Mar 01 Nov 2011, 11:22 pm | |
| Xaldin : J'entrais comme la dernière fois dans un le grand hall, cette fois ci seul, à mon grand plaisir. Ma mission était d'en savoir d'avantage sur la créature et l'humaine. Le château était toujours aussi vide et silencieux, une ambiance froide embaumait cette salle. J'avais un plan de quelques salles explorés avec Xigbar la dernière fois. On avait exploré seulement l'aile droite avec la chambre de la créature et les couloirs plus une salle en sorte de cachot ou une cave. Je voulais à présent savoir se qu'il y avait dans l'autre l'aile.
J'avançai vers les escaliers n'entendant toujours rien. Pas un pas ni une parole, le silence le plus complet hantait le château. Je montai l'escalier pas à pas essayant de ne pas faire trop de bruit. Arrivais au bout de l'escalier je fixai intensément la porte essayant de capter le moindre bruit, je ne devais pas être entendu et encore moins vu. Je posai la main sur la poignée et la fit lentement descendre avant d'ouvrir la porte, pour un fois j'enviais Xigbar, il pouvait se téléporter et même au plafond se qui peut être extrêmement bénéfique pour la discrétion. A vrai dire je peux voler, mais sous mes rafales qui sont quand même beaucoup bruyante. Je poussai doucement la porte me pressant et la refermant vite fait. C’était un couloir tout aussi sombre que le Hall, pourtant les autres couloirs étaient plus lumineux que celui ci... il était froid et terne. Il y avait des fenêtres donnant sur la cours que j'aimerais explorer. Le corridor était contrairement aux autres un peu plus étroit, il n'y avait aucune porte à part une tout au fond. J'avançais prudemment essayant d'être les plus à l'écoute, mais toujours rien. J'avançais vers la porte et je m’aperçus qu'elle était entre-ouverte ou je pus voir une silhouette jaune, j'avançai d'un pas qui me fut fatale. Mon pied se pris dans le tapis se qui me fit chuter contre la porte que je me pris en pleine face. J'entendis le bois percuter le mur alors que je me retrouvai couché au sol sur le ventre. Je relevais la tête... |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: 2ème Visite, l'indiscrétion est un art ! [PV Belle & Xaldin] Jeu 03 Nov 2011, 12:40 pm | |
| La bête agissait de manière étrange ses derniers temps. Elle se refermait sur elle-même et passait de longues, très longues, heure dans la pièce de la rose. Je comprends que cet objet lui soit important, même s’il ne m’en a jamais réellement parlé, mais son attitude, sans que je ne sache pourquoi me frustrait au plus au point. Lorsque je me réveillai ce matin, je retrouvai Madame Ardamo, qui me servait d’armoire, qui se tenait devant mon lit avec un sourire plus qu’effrayant.
-Qu’y a-t-il, Madame Ardamo? Vous m’avez l’air de … bonne humeur aujourd’hui.[
Après un gloussement, elle s’éloigna de moi, tout simplement sans me répondre, ce qui me frustra un peu, je l’avoue. Un peu plus tard, après mes lectures de la journée, Chip vint me rejoindre pour me dire que ce soir il y aurait un grand repas et qu’il fallait que je me prépare. Que je me prépare? Je ne saurais dire exactement comment, mais en quelques instant j’avais une armée de commode et objets quotidiens qui s’acharnaient à coiffer ma tignasse, ganter mes mains, ajuster mon corsage pour me retrouver transformée. J’avoue qu’en me voyant dans le miroir, j’eu la naïve pensée qu’on m’avait transformée en princesse. Une énorme princesse jaune. Ensuite ce fût le repas. Un repas comme les autres, à vrai dire, si ce n’est que je portais une jolie robe et que mes cheveux n’étaient pas noués derrière ma nuque. Le silence régnait dans la salle et j’avais la désagréable impression qu’on attendait quelque chose de moi. La bête n’était toujours pas arrivée et je commençais à m’impatienter. L’impatience n’est pas un défaut ! En tout cas, pas un pêché capital. Je crois. Peu importe. Big Ben s’approcha de moi pour me rassurer pour la trentième fois sans se douter qu’il m’indiquait par le fait même qu’une heure avait passé sans qu’il ne se présente. Je serrai la mâchoire. Je pouvais accepter qu’il refusa de m’accompagner pour prendre une marche avec Pouf, je pouvais accepter qu’il préféra rester seul dans sa pièce plutôt que de venir lire avec moi dans la grande bibliothèque et même qu’il puisse vouloir sortir sans me prévenir. Mais qu’il me fausse compagnie ainsi, alors que c’était lui-même qui m’avait invitée, c’était la goutte qui faisait débordé le vase. Dans une rafale de froufrous jaune poussin, j’écartai les grandes porte de la salle à manger et m’enfuis le long du couloir. Une larme coula le long de ma joue poudrée, une larme de rage évidemment ! Comme si un homme pouvait me briser le cœur. Comme si CET homme pouvait me briser le cœur. Je chassai l’intruse d’une main. Je n’étais plus faible, et d’ailleurs qu’il fasse ce qu’il voulait. Je claquai la porte du couloir pour me retrouver dans le hall et tourna systématiquement dans le couloir au centre de l’escalier pour m’engouffrer dans la salle du fond, vide de meuble à première vue. Mes yeux soupirèrent de nouvelles larmes que je congédiai avec la même austérité que leur précédente. Je voulais être seule. Dans un geste de colère, j’arrachai les talons hauts de mes pieds et les lançai à travers la pièce, puis voulu enlever cette énorme robe, en déchirant la manche. Une fois que j’eu saccagé ce pauvre vêtement (sans pour autant réussir à m’en débarrasser parce que mine de rien ce truc est immense) je soupirai, légèrement calmée. Constatant les dégâts, je me mordis la lèvre. Comment j’allais expliquer ça aux autres? Il fallait que je dise que… mon regard se tourna vers la fenêtre longiligne… que j’étais allée courir en forêt. Que la robe s’est prise dans le branchage voilà, il me suffisait de sortir discrètement, me dis-je en posant mes mains contre la vitre glacée. J’entendis la porte s’ouvrir et mon sang se glaça dans mes veines. Oh non, quelqu’un m’avait vue, je me retournai lentement et mon regard se posa sur une forme noir étendue au sol. Son capuchon était tombée sur ses épaules lors de sa chute et son regard croisa la mien.
-…
Un humain? Ici? Comment était-ce possible. Voilà si longtemps que je n’avais pas rencontré de créature qui ne fut pas couverte de poils ou qui ne sache faire cuir un plat en l’engouffrant dans sa bouche ! Je cachai habilement ma surprise. Gaston avait déjà envoyé des sbires ici pour me retrouver, bien que celui-ci n’ait pas le profil, il était peut-être un de ceux-là. Sans m’avancer, je soutins son regard violet. L’améthyste contre l’ambre, à savoir qui allait supporter le plus longtemps l’autre. Je lui fis savoir que je ne lui voulais pas de mal, mais que je n’avais certainement pas l’intention de me laisser faire non plus.
-D’abord qui êtes-vous et ensuite est-ce que ça va? Demandai-je sans ciller du ton autoritaire de professeure que j’avais fini par adopter en côtoyant la bête. |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: 2ème Visite, l'indiscrétion est un art ! [PV Belle & Xaldin] Sam 05 Nov 2011, 8:36 pm | |
| Xaldin :Je crachai une insulte quand j'eus senti la douleur qui avait un peu empiété sur ma jambe. Sur le coup j'ai été d'un ridicule grandiose, une partie de moi riait et l'autre partie essayé de faire taire sa jumelle, je suis quelque peu schizophrène je sais, mais se que vous lisez sont mes pensées non ? Donc je peux tout me permettre !
-D’abord qui êtes-vous et ensuite est-ce que ça va?
Je relevai la tête et ses pupilles incandescentes me percutèrent de plein fouet, une bataille venait de se déclarer entre mes yeux d'améthyste et ses yeux d'ambre, noir contre blanc, ténèbres contre lumière, sadisme contre douceur. Cet échange de regard était presque dévastateur, je voyais presque se qu'elle pensait tellement ses yeux étaient chargés d'émotions comparé au miens vide d'amour, mais remplie de haine. Je secouai alors la tête, relevai mon genoux pour me soulevé de la moquette qui était propre à en faire vomir. Je remis mon capuchon noir sur ma tête couverte de mes dreadlocks dont certain se voyaient sur mon torse bombé. J'avançais doucement restant silencieux ignorant sa question. Elle avait quelque chose en plus que les humains, elle était trop... lumineuse... trop expressive... un aura particulier l'entouré. Elle n'était sois pas humaine sois un humain dont le coeur est assolé par des orgies de sentiments. Elle était peu être une porteuse de la keyblade... non sinon elle serait déjà armée. Elle piquait ma curiosité au vif, elle paraissait assez sotte, mais je suis sûr qu'elle joue un double jeu pour dompter la créature vivant ici... je venais enfin de m’apercevoir qu'elle pleurait, ses yeux étaient rouge... son coeur battis si fort... il me donnait le tournis... mon cerveau commençait à me bruler: des maux de têtes apparaissaient, mais qui est elle pour faire ceci par un simple regard ? Bizarrement elle n'avait pas prit peur de mon intrusion soudaine et de mon allure qui est assez imposante et surtout par le fait que j'ai une silhouette noire. Je finis par reculais dans mes pas qui pourtant avançaient, plus je m'approchais plus je sentais une foule de sentiment bruler mon cerveau et annihiler mes capacité de simili. Je secouai la tête, je réfléchissais trop. Mais un plan me venu à l'esprit...
- Je suis désolé de vous avoir fait peur... ce mensonge me brulait presque les lèvres. J'ai découvert ce château en recherchant un logement à cause du froid glacial qui trainaille dehors, me suis surpris à voir de la sincérité dans mes paroles qui moi à tellement du mal a improviser. Comme j'ai encore croisé personne j'ai un peu naviguai dans le corridor. Euh.. je fis semblant de tousser pour donner un soupçon de naïveté. Désolé je me suis pas présenté je suis Dilan... désolé encore une fois, veuillez pardonner mon indiscrétion et ma maladresse... surdimensionnée. Je n'avais pas l'habitude de me rabaisser, je me mordais quelque peu la lèvre pour ne pas sortir mes lances et l'embrocher une bonne fois pour toute, mais j'attendais de savoir d'où provenait l'énergie de son coeur qui perçait mes ténèbres... Maintenant... aller t-il marchait ? |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: 2ème Visite, l'indiscrétion est un art ! [PV Belle & Xaldin] Sam 05 Nov 2011, 10:07 pm | |
| Une fois qu’il fut debout, l’inconnu se couvrit le visage avec sa large capuche. Il avait l’allure de l’assassin trop clinquant pour être un habitué du métier. Les dagues trop brillantes empêchent d’être discret dans les coins d’ombres, mais il n’avait sorti aucune arme pour l’instant ce qui était pour moi assez encourageant. L’individu me donnait une impression étrange. C’était comme si s’est yeux aspiraient la lumière ambiante. Si je n’avais pas déjà subit les … intempéries de la Bête, j’eus probablement pris peur. Tout en lui reflétait la fausseté. Le mensonge. Et ceux qui avait quelque chose à cacher étaient rarement ceux qui n’avait rien à se reprocher. Je m’étais bien assurer de me tenir à l’écart, hors de porté de l’homme. Qu’il se soit couvert le visage me semblait totalement inutile étant donné que je l’avais déjà vu. C’était un visage rude et carré, une chevelure sombre et élégamment tressé encadrait celui-ci, faisant ressortir son teint de marbre blanc. Il avait une carrure assez impressionnante, bien qu’il ne serait jamais aussi imposant que la créature avec qui je partageais le palais. Pour un homme, il était très grand. Une seule chose me fit tressaillir. Les favoris. D’énormes favoris qui venaient encadrer son visage. Je ne saurais dire ce qu’il y avait avec ses poils, mais je n’arrivais pas à détacher mon regard d’eux. Il lui donnait un air de fauve. De loup. Son mensonge était si évident… Tout en lui transpirait la tromperie, mais je décidai de jouer au jeu. J’aurai plus de chance d’apprendre ce qu’il voulait s’il ne tentait pas de m’attaquer et je doute que le démasquer nous mènerait à d’autres possibilités. Si Gaston croyait qu’envoyer des spadassins amateurs aux trousses de la bête lui suffirait, il la sous-estimait une nouvelle fois. Malgré tout, l’homme que j’avais devant moi ne me semblait pas comme les autres imbéciles. Il ne s’était pas enfui en se rendant compte qu’il avait été repéré, déjà, il n’avait pas tenté de m’attaquer en pensant que c’était la chose la plus intelligente que puisse faire un homme coincé devant une femme désarmée et surtout il avait tenté un mensonge abracadabrant plutôt que d’essayer de la raisonner. Si ça se trouve, il n’avait réellement aucune idée de qui elle était. Mais alors pourquoi venir ici? Qu’est-ce qu’il pouvait vouloir?
-Je vois, finis-je par dire doucement en hochant la tête dans un concert de cliquetis. Vous vous êtes perdu dans la forêt. Ça arrive aux meilleurs d’entre nous vous savez, ajoutai-je avec un sourire doux. Nous avons souvent des visiteurs qui demandent l’hospitalité ainsi.
J’omis bien sûr de mentionner que la Bête les renvoyait tous violemment, mais… au fond de moi j’étais contente d’avoir la chance de discuter avec un autre humain. Je m’approchai en faisant un effort pour avoir l’air d’avoir une totale confiance sans baisser ma garde moi-même. Après avoir replacé une mèche de mes cheveux qui s’était échappée de ma coiffure durant ma montée de lait de tout à l’heure, je l’entrainai vers le corridor vide. Il ne fallait pas que les serviteurs aient vent du visiteur. La Bête serait aussitôt au courant et dans l’état où il se trouvait, il le mettrait en pièce avant même que je puisse apprendre le vrai nom de l’individu. Je lui fis signe de veiller à ne pas faire de bruits et m’engageai dans le couloir. D’un côté, j’éprouvais un certain plaisir à le provoquer. Je l’avoue, son absence de ce soir me restait encore en travers de la gorge et lui montrer que je pouvais très bien survivre sans sa présence lui ferait une bonne leçon. « Regarde-moi ! Je peux très bien me débarrasser des gens que Gaston envoie contre toi. Moi aussi je sais jouer les princes charmants. Et j’en apprendrai plus sur ce qu’il se trame que quiconque dans cette maison ! » Jusqu’à maintenant tout se déroulait parfaitement bien. Tous les objets de la maisons nettoyaient les excès de colère de la bête, s’affairait à le chercher ou nettoyait la cuisine et la table. Les couloirs étaient vides. Nous fîmes notre chemin dans le château sans encombre jusqu’à ce que nous traversâmes le couloir qui menait aux chambres, une ombre nous indiqua que quelque chose s’approchait et que la rencontre était éminente. Prise de panique, j’ouvris la porte du petit placard à balais que je savais déserté à cette heure de la journée (c’était le moment du nettoyage dans le château et tous les appareils d’entretien ménager étaient de corvées, je le poussai dans l’habitacle et m’enfonçai à sa suite. Le placard était assez large pour nous accueillir tous les deux, malgré tout ma robe était affreusement ample et me forçait à consommer tout l’espace qui nous aurait normalement permis d’avoir une distance plus… ma joue entra en contact avec son torse. Une distance tout court. Je maudis intérieurement Madame Ardamo d’avoir choisi la seule robe au monde qui devait avoir assez de tissus pour habiller toute la population de souris du château. Dans la noirceur du placard à balais, je remis en question pour la première fois mon « plan génial ». Juste trente seconde, après tout j’étais intelligente j’allais trouver un plan B. B comme Bête. Je me mordis les lèvres, pas question. Pas question que je fasse appel à ce mufle ! Plus jamais. Par réflexe, j’avais mis ma main sur sa bouche pour m’assurer qu’il ne ferait pas de bruit. Nous passâmes un moment en silence l’un contre l’autre dans une position aussi embarrassante qu’inconfortable. Lorsque mon bras n’eût plus aucune goutte de sang, je me résignai à libérer la bouche de mon « compagnon ». Quelques explications s’imposaient.
-Mieux vaut que … le propriétaire ne sache pas que sa, je réfléchis à toute vitesse. Servante a fait rentrer un étranger. Je ne voudrais pas… perdre mon emploi.
J’ouvris lentement la porte, ce qui me libéra du contact de nos deux corps un instant et me permit de penser à autre chose que le fait que j’avais l’air de lui faire des avances. Une fois hors du réduit, je l’entrainai dans la première chambre des invités (qui n’était pas la mienne) normalement les meubles dormaient, ils ne remarqueraient rien. Oh ma robe ! Pourquoi une servante porterait une robe. Étant dos à lui, je me permis un air paniqué. Quelle idiote!
-Pardonnez-moi.. je … j’ai dû vous paraître étrange, haha. C’est-à-dire que… Mon cerveau était en ébullition. C’est que je … c’est très très embarrassant. Je… Vous m’avez prise en flagrant délit, voyez-vous. Je faisais mon travail, je nettoyais la chambre des maîtres et j’ai … j’avoue, j’ai décidé d’essayer la robe de madame.
C’était plausible, même si c’était gros. Un peu.
-J-j’ai besoin de cet emploi pour m’occuper de mon père, je pris sa main pour avoir plus convaincante. Je vous en supplie essayer de ne pas vous faire repérer par mon... maître.
J’eu la plus grande misère du monde à l’appeler Maître, mais le mot sortit malgré tout. Il y avait une part de vrai dans ce que je lui disais. Il ne fallait pas que la bête le trouve et elle devait rester ici pour que son père puisse recevoir les soins qu’il lui fallait.
-S’il vous plaît. |
| | | InvitéInvité | Sujet: Re: 2ème Visite, l'indiscrétion est un art ! [PV Belle & Xaldin] Sam 11 Fév 2012, 7:58 pm | |
| Xaldin : La pseudo princesse m’entraîna précipitamment dans les corridors immenses du château. Elle semblait pressé de me voir partir en tout cas. Pourtant le fait qu'elle soit autant focalisé sur ma discrétion me rappelant sans cesse de ne pas faire de bruit, mais si je me suis pris les pieds dans le tapis mais ça arrive à tout le monde non ? Enfin je crois... enfin bon ! Après quelques minutes elle sursauta presque voyant une ombre approché, je sentais très bien sa peur ce qui me fit presque sourire de voir ces stupides humains guidés par de simples battements de cœur. Elle fit volte face, me poussa dans une armoire et s'engouffra elle aussi. Je la pris d'abord pour une malade puis je compris qu'elle cherchait à fuir quelque chose, quoi ? Peut être l'immense bête de la première visite avec numéro II... ce n'était pas tout à fait clair, c'est trop étrange. Ensuite sa tête entra en contact avec mon torse qui me fit tressaillir, c'était bien une tarée. La jeune femme devenait presque rouge gêné par la situation, j'essayais de cacher le fait que cette situation génère un sentiment dans le coeur de la pseudo princesse, une adrénaline lui faisant perdre ses moyens, c'est complètement idiot et inutile. Mais elle pose sa douce main sur ma bouche croyant que j'allais parler, je crois surtout que cette tarée me prend pour un boulet mais bon, comme si j'allais lui parler... surtout à ELLE. Elle marmonna dans son coin, j'étais trop occupé à réfléchir à comment j'allais la tuer pour donner son cœur si pur à Kingdom Hearts. Peut être que si je devenais « ami » avec elle , elle me livrera la bête que je convoite tant pour un chasseur de cœur. Puis quand j'aurais mon dù je la tuerais ou plutôt le monstre la tuera et je serais là à sourire devant cette macabre scène. Le fait de voir cette jeune femme déchiqueté vive me réjouissait de plus en plus. Elle ouvrit lentement la porte avant de sortir et prendre une grande bouffée d'air pendant que moi j'arrangeais mes dreadlocks. Elle me prit par le poignet et me traina dans une des chambres, je le confirme c'est vraiment une malade à faire internée !
« Pardonnez-moi.. je … j’ai dû vous paraître étrange, haha. C’est-à-dire que… »
La pseudo princesse semblait nerveuse par ce rire me rappelant Axel avec ses blagues à deux munnies riant lui même à ses blagues plus que vaseuses.
« C’est que je … c’est très très embarrassant. Je… Vous m’avez prise en flagrant délit, voyez-vous. Je faisais mon travail, je nettoyais la chambre des maîtres et j’ai … j’avoue, j’ai décidé d’essayer la robe de madame. »
Elle semblait croire à mon mensonge, même si son attitude me faisait obligatoirement penser à Larxene, je ne sais pas pourquoi. Mais elle était barvarde... trop bavarde, le fait qu'elle le dise aussi vite présage quelque chose de rien de bon, je l'avais vu lors de la première visite en robe poursuivit par ce qu'elle appelle son maître, elle mentait j'en étais sûr, pourquoi ? Je ne sais pas... je veux le découvrir. Elle s'agenouilla et pleura sur son sort avant de me supplier de ne rien dire, sa faculté à mentir m'impressionait, ça avait l'air si vrai... mais elle mentait et je le savais, mais je devais jouer le jeu si je voulais découvrir se qu'elle trame.
« Euh... oui, chère demoiselle je ne dirais rien, ca sera un petit secret entre nous. Mais comment vous appellez vous ? »
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